Voici des litanies écrites au VIe siècle par saint Grégoire le Grand. Pour accompagner le Christ dans sa passion.
Il reçut des soufflets sans nombre de la part de ses insulteurs.
Lui qui chaque jour arrache de la main du vieil ennemi les âmes captives.
Il ne détourna point son visage des crachats de la perfidie,
Lui qui lave les âmes dans l'eau salutaire.
Il accepta sans mot dire la flagellation,
Lui qui par son intercession nous délivre des supplices sans fin.
Il endura les mauvais traitements,
Lui qui veut bien nous faire participer parmi les choeurs des anges, à la gloire éternelle.
Il ne se refusa point au couronnement d'épines,
Lui qui nous sauve des blessures du péché.
Il accepta dans sa soif l'amertume du fiel,
Lui qui se prépare à nous enivrer d'éternelles délices.
Il a gardé le silence sous l'outrage de l'adoration dérisoire des bourreaux,
Lui qui a pour nous supplié son Père, bien qu'il fût son égal par la divinité.
Il en est venu à subir la mort, Lui qui était la Vie,
Et qui était venu l'apporter aux morts.
Il reçut des soufflets sans nombre de la part de ses insulteurs.
Lui qui chaque jour arrache de la main du vieil ennemi les âmes captives.
Il ne détourna point son visage des crachats de la perfidie,
Lui qui lave les âmes dans l'eau salutaire.
Il accepta sans mot dire la flagellation,
Lui qui par son intercession nous délivre des supplices sans fin.
Il endura les mauvais traitements,
Lui qui veut bien nous faire participer parmi les choeurs des anges, à la gloire éternelle.
Il ne se refusa point au couronnement d'épines,
Lui qui nous sauve des blessures du péché.
Il accepta dans sa soif l'amertume du fiel,
Lui qui se prépare à nous enivrer d'éternelles délices.
Il a gardé le silence sous l'outrage de l'adoration dérisoire des bourreaux,
Lui qui a pour nous supplié son Père, bien qu'il fût son égal par la divinité.
Il en est venu à subir la mort, Lui qui était la Vie,
Et qui était venu l'apporter aux morts.