Sous tes yeux, ô Seigneur,
Nous portons le fardeau de nos fautes,
Et nous portons en même temps les plaies
Qu'elles nous ont faites.
Si nous pesons le mal que nous avons fait,
Ce que nous souffrons n'est rien et nous méritons bien plus.
Grave est le mal que nous avons commis,
Léger ce que nous avons à souffrir.
Nous éprouvons la peine du péché,
Et cependant, nous ne renonçons pas
A notre obstination dans le péché.
Tes châtiments écrasent notre faiblesse,
Et notre iniquité reste toujours la même.
Notre volonté mauvaise se sent torturée,
Mais nous ne courbons pas la tête.
Notre vie se passe dans les soupirs de la douleur,
Mais elle ne s'amende pas dans ses actions.
Si tu temporises, point de retour de notre part;
Si ton bras vengeur nous frappe, nous nous rebutons.
Dans les châtiments, nous confessons nos fautes,
Mais à peine t'es-tu éloigné, que déjà nos larmes sont oubliées.
Si ton bras s'abaisse, nous promettons tout;
Mais le glaive reste-t-il suspendu,
Nous ne tenons plus aucun compte de nos promesses.
S'il arrive que tu frappes, nos cris de peine s'élèvent vers toi;
A peine as-tu pardonné,
Que déjà nous provoquons de nouveau ta juste vengeance […]
O Père tout-puissant, nous ne méritons rien,
Mais accorde-nous ce que nous demandons,
Toi qui as fait de rien les hommes, pour implorer ton nom!
Nous portons le fardeau de nos fautes,
Et nous portons en même temps les plaies
Qu'elles nous ont faites.
Si nous pesons le mal que nous avons fait,
Ce que nous souffrons n'est rien et nous méritons bien plus.
Grave est le mal que nous avons commis,
Léger ce que nous avons à souffrir.
Nous éprouvons la peine du péché,
Et cependant, nous ne renonçons pas
A notre obstination dans le péché.
Tes châtiments écrasent notre faiblesse,
Et notre iniquité reste toujours la même.
Notre volonté mauvaise se sent torturée,
Mais nous ne courbons pas la tête.
Notre vie se passe dans les soupirs de la douleur,
Mais elle ne s'amende pas dans ses actions.
Si tu temporises, point de retour de notre part;
Si ton bras vengeur nous frappe, nous nous rebutons.
Dans les châtiments, nous confessons nos fautes,
Mais à peine t'es-tu éloigné, que déjà nos larmes sont oubliées.
Si ton bras s'abaisse, nous promettons tout;
Mais le glaive reste-t-il suspendu,
Nous ne tenons plus aucun compte de nos promesses.
S'il arrive que tu frappes, nos cris de peine s'élèvent vers toi;
A peine as-tu pardonné,
Que déjà nous provoquons de nouveau ta juste vengeance […]
O Père tout-puissant, nous ne méritons rien,
Mais accorde-nous ce que nous demandons,
Toi qui as fait de rien les hommes, pour implorer ton nom!